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Marielou Delforge, la fondatrice de Marielou Création

MARIELOU A FONDÉ SA MARQUE D'ILLUSTRATIONS GRAPHIQUES ET MINIMALISTES

 

Quel a été ton parcours avant de lancer Marielou Création?

J’ai toujours aimé dessiner, j’ai passé mon enfance à recopier des bandes dessinées. J’ai eu la chance de pouvoir abandonner les études «classiques» pour faire des études d’illustrations dès le Lycée.

À la fin de mes études j’ai intégré une première entreprise en tant que Graphiste puis une deuxième en tant que responsable d’un studio graphique. Une belle expérience pour comprendre le monde du travail et pour approfondir mes connaissances dans les outils de conception graphique.

Comment t’est venue cette idée?

Frustrée de ne pas pouvoir exprimer mes envies et mes goûts en terme de graphisme, j’ai décidé de me lancer en tant qu’illustratrice indépendante.

De quoi se compose ton univers créatif?

Fan depuis toujours de décoration, de couleurs et d’artisanat, je m’inspire aujourd’hui de ces différentes passions pour marquer mon univers graphique, coloré et minimaliste.
 

Une journée type chez Marielou Création?

Je n’ai pas de journée type, si ce n’est le petit café au calme quand mes filles partent à l’école.
Même si je suis assez organisée (j’ai toujours une to do list à jour), j’aime aussi laisser place à mes envies du jour et ne pas programmer mes tâches en amont.
Si je suis inspirée, je dessine (pour moi ou pour mes clients) et ensuite je passe beaucoup de temps à échanger avec mes boutiques revendeurs et mes clients. Je mets beaucoup d’énergie pour animer mes réseaux sociaux car Instagram est une merveilleuse vitrine pour une marque comme la mienne. Reste quelques aller retours à La poste et de la comptabilité (être indépendante c’est vraiment être couteau suisse ).
 

Quel est ton meilleur souvenir olfactif?

Complètement fan de l’odeur du papier glacé des magazines.

 

Ton parfum favori et pourquoi?

J’adore l’eau de parfum pour enfant Bonton qui sent la fleur d’oranger, le citron et le cèdre.

Un petit mot sur la bougie Jardin d’hiver?

La bougie Jardin d’hiver est un bel objet au graphisme épuré pour un intérieur Cosy ( tout ce que j’aime! ). Quant à son parfum réconfortant, c’est une veritable invitation à prendre du temps pour soi.

Découvrez les créations de Marielou et la bougie Jardin d’hiver.

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Stéphanie, la fondatrice de Lovely Green, marque de mode éthique brodée à la main

STÉPHANIE A FONDÉ LOVELY GREEN, UNE MARQUE DE MODE ÉTHIQUE BRODÉE À LA MAIN.

Quel a été ton parcours avant de lancer Lovely Green?

Je suis architecte d’intérieur, designer et graphiste de formation. Après plus de 15 ans passés à concevoir des espaces de vie, j’ai eu envie d’être plus proche de la matière, de retourner à une plus petite échelle de création, celle de l’objet, de l’accessoire et du vêtement. C’est donc, il y a un peu plus de 2 ans que je me suis lancée dans l’aventure Lovely Green, en créant ma marque de mode éthique, brodée à la main.

Comment t’est venue cette idée?

Je suis fascinée et passionnée depuis toujours par les savoir-faire artisanaux. Créer de mes mains était vraiment quelque chose qui me tenait à coeur. Et puis, il y a eu la rencontre avec la broderie. Cet art qui laisse une grande place à la créativité m’a tout de suite séduite. J’aime sa souplesse, son exigence, sa minutie et la place qu’elle offre à l’expression de la couleur.

Une journée type chez Lovely Green?

Comme beaucoup d’artisans, je n’ai pas vraiment de journée type mais si je devais définir mes journées dans les grandes lignes, je dirais qu’elles ressemblent un peu à ça:

Je commence ma journée par m’occuper de mes 3 garçons. Nous nous préparons et petit-déjeunons ensemble avant que je les dépose à l’école. Depuis peu, je m’offre une petite demi-heure de yoga ou de méditation, pour me centrer et prendre soin de moi. Débute ensuite ma journée de travail. Je commence souvent par préparer les commandes de la veille, répondre aux emails, préparer un post pour les réseaux sociaux. Je déjeune souvent rapidement avant de m’installer pour quelques heures de production, aiguille à la main. Je brode les commandes en cours et quand le temps me le permet, je travaille sur quelques nouveautés. À 16h30, je file retrouver mes petits. Nous partageons un goûter, nous nous racontons nos journées avant d’attaquer les devoirs. Je me remets au travail quelques instants quand les enfants me le permettent avant de préparer le dîner que nous prenons en famille.

Il n’est pas rare que je me remette au travail après le repas du soir et le coucher des enfants pour terminer quelques travaux de broderie en cours, répondre à quelques emails ou demandes personnalisées.

Des journées souvent bien remplies mais qui sont aussi pleines de surprises, de découvertes et de nouveautés. Aucune place pour l’ennui ou la monotonie!

Tes conseils ou tes tips pour continuer à développer son business actuellement?

Je crois que la passion est le plus grand des moteurs. Suivre son coeur et se faire confiance est sans doute le meilleur des conseils. Oser faire et surtout faire preuve de persévérance et de patience. En termes de développement, le plus gros enjeu actuellement est sans aucun doute de se rendre visible et d’arriver à se faire une place sur cette immense toile qu’est internet. Et pour cela, je crois profondément en l’affirmation de ses valeurs et de son engagement, avec sincérité et en toute transparence.

Quel est ton meilleur souvenir olfactif?

Sans aucun doute, l’odeur des pins de mon enfance, celle que j’avais tant d’impatience à retrouver chaque été sur le bassin d’Arcachon.

Ton parfum favori et pourquoi?

J’aime les parfums boisés et capiteux, aromatiques et plutôt ronds, mais aussi la fraîcheur de senteurs comme celle de la figue.

J’aime tout particulièrement en ce moment m’entourer d’effluves de Palo Santo que je fais brûler à mes côtés pendant que je brode. C’est aussi un peu ça le bonheur!

Retrouvez les créations de Lovely Green online!

Retrouvez nos collections parfumées sur le shop.

HOUBLINE FLEURS

Sophie Cardinael, la fondatrice de Houbline

sophie cardinael a fondé la marque de fleurs séchées houbline. une ode à la nature et à la campagne, ses passions.

QUEL A ÉTÉ TON PARCOURS AVANT DE LANCER HOUBLINE?

J’ai fait une école de commerce à Grenoble avec des stages à l’étranger (Chine, US et Afrique du sud) et le dernier chez Décathlon où j’ai continué de travailler en magasin pendant 4 ans. J’adorais le travail en équipe, le contact avec les clients et la vie active d’un magasin.

COMMENT T’ES VENUE CETTE IDÉE?

J’ai toujours adoré courir en pleine nature et à force d’arpenter les sentiers de Trail des monts de flandres et de passer devant les houblonnières, je me suis dis qu’il y avait quelque chose à faire avec le houblon local!

On boit chaque année des litres de bière mais 90% des français ne savent pas ce qu’est le houblon. Je suis une grande passionnée de nature et amatrice de bons estaminets à la déco houblonnée.

L’idée est donc venue au fil des chemins en essayant de valoriser le houblon comme une fleur séchée, puis le lin (d’où le nom Houbline) et tant d’autres fleurs pour en faire des compositions qui durent dans le temps.

UNE JOURNÉE TYPE CHEZ HOUBLINE?

Préparation des commandes (pro, revendeurs et particuliers). Je mets le nez dehors lorsque la rosée de la campagne se dissipe et je peux alors glaner, mettre en petite botte et faire sécher des fleurs et des végétaux. Enfin, la journée se poursuit avec quelques éventuelles livraisons et réponses aux mails. Je m’occupe aussi de faire les photos des compositions.

TES CONSEILS OU TES TIPS POUR CONTINUER À DÉVELOPPER SON BUSINESS ACTUELLEMENT?

Être toujours ouvert à la rencontre de tous horizons, chaque avis compte. Il faut prendre le temps de les recueillir et créer des situations propices aux feedbacks (portes ouvertes etc.). Finalement, plus que des avis, chaque personne peut apporter une idée et une vision différente, d’autant plus lorsque l’on travaille seule, ce qui est mon cas.

QUEL EST TON MEILLEUR SOUVENIR OLFACTIF?

Le houblon suspendu fraîchement posé sur les poutres du grenier à la fin du mois de septembre.

TON PARFUM FAVORI ET POURQUOI?

L’odeur de la glace à la fraise car c’est une recette secrète familiale! On se bat pour ces glaces chez nous :).

Retrouvez le bel univers de Houbline sur son site et sur son compte instagram @houbline_fleurs

 

 

Retrouvez nos collections parfumées florales et poétiques ici.

MARIANNA SZEIB

Marianna Szeib, la fondatrice de Face to Face

MARIANNA A FONDÉ FACE TO FACE AFIN DE DÉVOILER LES PERSONNALITÉS UNIQUES QUI SE CACHENT DERRIÈRE CHAQUE OBJET

Quel a été ton parcours avant de lancer Face to Face?

Avant de lancer Face to Face, j’ai longtemps travaillé dans de grands groupes tels que L’Oréal ou LVMH, en marketing développement dans le parfum. Ma vocation pour la création des produits était née lors de mes études à l’ESCP. Malgré le fait que je sois née en Pologne communiste et que ce parcours paraissait comme un rêve intenable, mon amour profond pour le voyage et les langues étrangères m’a amené à intégrer l’ESCP. J’ai réalisé un programme dans 3 pays: Londres- Madrid- Paris. Après 7 ans de vie assez déséquilibrée, qui tournait autour du travail, j’ai eu un déclic et une envie profonde d’exprimer mes valeurs et de réhumaniser le monde de la création. Inspirée par les histoires authentiques, le savoir-faire et le fait main, je me suis posée les questions suivantes: « Qu’est-ce que j’ai envie de transmettre » et « de quoi suis-je fière »?

Comment t’es venue cette idée?

L’idée au coeur de la plateforme Face to Face, ce sont les histoires et les personnes de talent. Pendant toute ma carrière dans le marketing, j’ai dû imaginer de nouvelles histoires pour rendre le produit désirable. Alors même que j’étais entourée de connaissances qui lançaient leurs marques avec de vraies histoires derrière. C’est d’abord à ces récits et ces parcours que je me suis intéressée, voulant mettre en lumière ces prises de risques qui me touchaient en tant que consommatrice. J’ai découvert petit à petit toute cette nouvelle vague de créateurs qui quittent le monde des grandes marques pour « faire différemment après y avoir fait leurs armes ». Ces femmes de 30-40 ans qui se réorientent après un burn-out, une maternité, une maladie. Tout naturellement, je me suis mise à accompagner ces créateurs pour les aider à « trouver une place dans le marché », des lieux de vente… Les étapes les plus difficiles quand on est une jeune marque. Parce qu’avoir un site et une communauté instagram, ça ne suffit plus. Face to Face c’est le prolongement de cette démarche.

Une journée type chez Face to Face?

Nous n’avons pas tellement de journée type, mon temps est généralement divisé entre le recrutement de créateurs et l’accompagnement de ceux qui font déjà partie du réseau et la recherche d’opportunités de vente, de visibilité et de collaborations comme celles avec & Other Stories.

La solidarité est notre véritable moteur. C’est avant tout un vrai réseau de femmes et de soutien. Chaque créateur a un accès à un espace de vente digitale sur le site de Face to Face et peut aussi participer à des ventes éphémères, en partenariat avec des podcasts, des médias dans des lieux branchés comme des hôtels, des galeries… Face to Face est aussi partenaire de salons professionnels, comme Première Classe.

Tes conseils ou tes tips pour continuer à développer son business actuellement?

La visibilité sera clé pour les prochains mois à venir, surtout celle du digital. Les ventes physiques ont naturellement été stoppées et donc tout le challenge des marques actuellement est de reporter ces ventes perdues sur internet. Nous avons développé un programme d’accompagnement presse et webzines avec le bureau de presse La Falktory. Chaque marque va devoir justifier sa raison d’être, plus que jamais la transparence sur la fabrication, l’engagement écologique, le local, le fait main vont avoir raisonnance avec le monde post-confinement.

Quel est ton meilleur souvenir olfactif?

Le parfum de ma mère quand j’étais enfant: Cinéma d’Yves Saint Laurent. Il me réconfortait, il dégageait une chaleur rassurante d’élégance folle.

Ton parfum favori et pourquoi?

« Portrait of a lady » de Frédéric Malle, une rose épicée et opulente, qui s’éloigne de son interprétation sucré et naïve à la quelle les parfumeurs nous ont habitués.

Retrouvez tout l’univers de Face to Face.

face to face

Retrouvez toutes nos collections parfumées.

soror

Vanina Denizot, la créatrice de la revue Soror

DÉCOUVREZ L'UNIVERS DE VANINA, LA CRÉATRICE DE LA REVUE SOROR. UN MOOK MADE IN FRANCE QUI CÉLÈBRE LES FEMMES.

Quel a été ton parcours avant de lancer Soror?

Avant Soror, j’étais journaliste, essentiellement dans la presse féminine, et je le suis toujours. J’ai travaillé au sein du groupe Marie Claire pendant 5 ans. Mais j’ai eu envie de quitter Paris et je me suis mise à mon compte il y a presque 8 ans. J’alterne la rédaction d’articles, de livres, de oublis-rédactionnels et de communiqués de presse. J’adore cette diversité des contenus et des missions, mais j’avais envie de mener un projet plus personnel qui me tienne à coeur. C’est comme cela qu’est né Soror.

Comment t’est venue cette idée?

En travaillant dans la presse féminine et en ayant l’opportunité de rencontrer des femmes formidables, de prendre le temps de les écouter. J’adorais (et c’est toujours le cas!) tout particulièrement rédiger des portraits. J’étais malgré tout frustrée car, au final, je trouvais que les femmes interviewées n’étaient pas mises en avant à leur juste valeur. Alors l’idée d’une revue qui soit entièrement composée de portraits de femmes, avec des articles au long cours, a commencé à trotter dans un coin de ma tête. La naissance de ma première fille et l’arrêt d’une grosse mission en tant que journaliste Freelance ont été les ultimes déclencheurs.

Une journée type chez Soror?

Je n’ai pas vraiment de journée type pour Soror car je n’y consacre pas l’essentiel de mon temps de travail. En règle générale, je dépose ma fille à la crèche, je retourne travailler chez moi sur des commandes d’articles et je réponds aux mails, je cale des interviews. J’aime bien aussi programmer des rendez-vous pros le matin, cela me donne une bonne énergie pour débuter la journée et ensuite j’évite de courir à droite à gauche ou de papoter autour d’un déjeuner! Je mange souvent devant mon ordi en solo, je sais, c’est pas terrible. Ensuite, l’après-midi, j’écris de nouveaux articles où je consacre du temps à mes recherches ou au montage des sujets notamment pour Soror. C’est aussi l’après-midi que j’appelle mon amie et associée Maud Simon Coillard avec laquelle j’ai lancé Slova, un studio éditorial qui accompagne les marques dans la création de contenus. Elle voyage beaucoup alors nous sommes souvent en décalage horaire! À 16h30, ma journée de boulot est terminée et je file chercher mes deux filles. Je suis ensuite en apnée jusque 20h, heure d’arrivée de leur papa. Je garde un oeil sur mes mails mais c’est en général une erreur. J’évite de travailler de nouveau le soir.

Ton conseil pour les entrepreneurs en herbe?

Avant de vous lancer, demandez-vous pourquoi vous le faites. Pour exprimer une passion ou une vocation, aménagez votre emploi du temps. Je pense qu’il faut avoir en tête sa motivation première pour savoir où l’on va et ne pas se décourager. Il faut aussi savoir où l’on va et ne pas de décourager. Il faut aussi savoir que le lancement d’une entreprise n’est pas synonyme d’argent (du moins au début)! Enfin, il faut avoir une solide confiance en soi pour se lancer ou du moins travailler dessus!

Quel est ton meilleur souvenir olfactif?

Je n’ai pas un seul meilleur souvenir olfactif et je pense que la plupart viennent de mon enfance en Corse. Les odeurs de maquis mélangeant aux pierres chauffées par le soleil, aux figuiers, au parfum de la mer, du sable brûlant, voilà ce qui me vient spontanément à l’esprit.

Ton parfum favori et pourquoi?

Peut-être justement l’odeur du figuier… Dans mon village, dans le Cap Corse, il y a un immense figuier centenaire. Petite, mes grands-parents nous y amenaient mon frère et moi et nous grimpions pour manger les figues directement sur l’arbre. Nous en ramenions des kilos. Je n’ai jamais retrouvé le goût de ces figues là ailleurs et ce souvenir gustatif et olfactif fait partie de moi.

Découvrez Soror.

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Retrouvez nos collections de bougies parfumées inspirées également de femmes.

MARIE DEWET MAISON CLEO

MARIE DEWET, LA FONDATRICE DE MAISON CLEO

marie dewet

Cleo est le surnom de sa maman et partenaire dans l'aventure maison CLEO. Cléo faisant référence à Cléopâtre , aux cheveux courts noirs, au trait d'eyeliner et aux gros bijoux dorés qu'elle portait dans sa jeunesse. Une belle histoire de famille au succès dépassant les frontières!.

Quel a été ton parcours avant de lancer Maison Cleo?

J’ai un master en communication durant lequel j’ai effectué tous mes stages dans la mode. J’ai continué ensuite de travailler dans la mode tant qu’assistante de communication puis responsable communication et dernièrement j’étais responsable de l’équipe VIP chez Vestiaire Collective pendant 3 ans. J’ai arrêté récemment ce job afin de me consacrer entièrement à ma marque.

Comment t’est venue cette idée?

Avoir effectué mes stages dans la mode m’a permis de voir l’envers du décor et j’ai été déçue de certaines choses. Puis est arrivé un moment où je souhaitais uniquement acheter des vêtements dans des matières naturelles et fabriquées localement en France. Je n’ai pas trouvé ce que je cherchais alors j’ai acheté de la soie et j’ai demandé à ma mère, couturière de métier, de me faire des petits hauts en soie. Je les ai posté sur un compte instagram que j’avais créé en plus de mon compte perso et ça a pris tout de suite!

Une journée type chez Maison Cleo en cette période un peu particulière?

Que ce soit en période de confinement ou normale, il n’y a aucune journée type et c’est ça que j’adore. Je fais ce que je veux, quand je veux et dans l’ordre que je veux. Dans le désordre et parmi les plus grosses missions, je m’occupe de la comm en général, de l’image de la marque, du site, des projets, des collabs, de la recherche de nouveaux tissus…

Tes conseils pour les entrepreneurs afin de continuer à développer son business actuellement?

Les gens sont beaucoup plus sur les réseaux sociaux en ce moment donc il faut continuer à communiquer et c’est vraiment le moment pour se faire connaître à fond! Chez Maison Cleo, nos ventes explosent et on a pratiquement pris 10 000 abonnés en un mois au lieu des 1000 habituels.

Quel est ton meilleur souvenir olfactif?

L’odeur de la pluie juste avant l’orage.

Ton parfum favori et pourquoi?

En ce moment, le parfum de l’huile de jojoba, j’en mets sur le visage juste avant de me coucher.

Retrouvez l’univers de Maison Cleo.

 

maison cleo

 

Les histoires familiales, ça nous connaît! Découvrez la nôtre 🙂

anteadote

Maïlys et Jehane, les fondatrice la marque Anteadote

anteadote

Maïlys et Jehane , les fondatrices de la marque d'infusions biologiques anteadote

Quel a été ton parcours avant de lancer Anteadote?

Jehanne était déjà Docteur en Pharmacie et finissait son Diplôme Universitaire de Phytothérapie. Quant à moi, je travaillais en marketing opérationnel 

 chez Guerlain après avoir fait une école de commerce et occupé plusieurs postes notamment dans la distribution spécialisée et la communication. On avait toutes les 2 depuis longtemps l’envie d’entreprendre . Quand Jehanne m’a parlé de son projet, on s’est rendues compte que nos parcours nous avaient permis d’acquérir un certain nombre de compétences qui nous permettaient de mener à bien ce projet et qu’on était très complémentaires. Toutes les planètes étaient alignées … on a donc pris la décision de se lancer!

Comment vous t’est venue cette idée?

C’est d’abord l’idée de Jehanne, qui pendant son DU a commencé à créer des recettes qu’elle donnait à ses amis. Voyant l’enthousiasme de son entourage, elle s’est dit que ce serait intéressant de creuser le projet et d’en faire une marque. C’est à ce moment-là qu’elle m’en a parlé. J’ai trouvé l ‘idée super et plus on en parlait, plus on se disait « mais on peut le faire !!! »

Une journée type chez Anteadote?

Après avoir déposé les enfants à l’école, je me mets à mon bureau et je regarde et réponds à mes mails. Je fais le point sur les commandes à préparer dans la journée et je m’occupe des réseaux sociaux. Pendant les périodes de rush ( L’hiver , Noël , la fête des mères, la fêtes des pères ) , je passe quasiment tout mon temps dans l’atelier à la production et à la préparation des commandes. Dans les périodes un peu plus creuses, j’en profite pour développer de nouveaux projets ( de belles collab- comme avec Label Bougie 😉 , de nouveaux produits, des partenariats) ou optimiser nos process. Je consacre aussi du temps à notre développement commercial. Bref, il y a beaucoup à faire et j’ai toujours l’impression de manquer de temps! Surtout que je suis maman de 2 petits garçons de 3 ans et bientôt d’une petite fille. Donc je n’ai pas le choix : à 17h50, il faut ranger l’atelier et l’ordinateur et partir chercher les enfants. A 18 h, ma 2ème journée commence!

Ton conseil pour les entrepreneuses en herbe?

Prendre le temps de bien ficeler son projet et savoir s’entourer de personnes de confiance. 

Quel est ton meilleur souvenir olfactif?

Je suis très sensible aux odeurs. Pour moi chaque lieu a une odeur particulière. Ma grand-mère vit dans les Alpes, j’y ai passé toutes mes vacances depuis mon enfance. Chaque fois que je viens la voir, je retrouve cette même odeur très minérale boisée que j’adore et qui m’évoque la liberté des grands espaces. 

Ton parfum favori et pourquoi?

L’homme Idéal de Guerlain ! Parce que c’est le parfum de mon homme 😉

Découvrez notre coffret La Superbe imaginé en collaboration avec Anteadote.

Découvrez l’univers et les collections d’Anteadote.

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CLÉMENCE YON, LA CO-FONDATRICE DE LA MARQUE LE COLONEL MOUTARDE

portrait clemence yon

Rencontre avec Clémence, la co-fondatrice de la marque le colonel moutarde

Clémence et Rémi, les fondateurs de l’entreprise Le Colonel Moutarde, ont remis au goût du jour un accessoire aujourd’hui devenu phare: le noeud papillon. Ils ont plus d’une corde à leur arc et ont élargi leur gamme de produits au fil des ans. 

Quel a été ton parcours avant de lancer Le Colonel Moutarde?

J’ai eu un parcours plutôt classique, après mon école de commerce à Reims, j’ai travaillé dans la grande distribution.

Je travaillais dans la construction de l’offre produit, puis en merchandising. Mon dernier poste était à la centrale d’achat de Leroy Merlin. J’ai demandé un an de congés « création d’entreprise », c’était top d’avoir une solution de repli, d’autant plus que j’aimais ce que je faisais.

Comment t’es venue cette idée?

C’est Rémi, mon amoureux, qui a eu l’idée. Il ne trouvait pas de noeud papillon qui lui plaisait en magasin, il a décidé d’en coudre un pour lui…puis deux, puis trois.

Je lui ai alors lancé un défi: allez viens, on les vend, ça peut être drôle et ça nous fera un petit projet à tous les deux.

Une journée type chez Le Colonel Moutarde en cette période un peu particulière?

Cela fait longtemps que nous n’avons pas été aussi actifs, on se donne à fond pour faire des masques.

Dès le premier mardi du confinement, nous avons commencé à fabriquer des masques à la maison puis nous travaillons maintenant en collaboration avec Lemahieu qui nous donne des kits de masques à confectionner. Ils sont validés par le CHR de Lille.

En parallèle, nous assurons toujours les commandes et le service client chez Le Colonel!

Les boutiques sont évidemment fermées mais on continue en service ultra réduit à préparer vos commandes.

Futurs mariés, profitez de ce moment pour vous renseigner, nous sommes là pour vous aider et répondre à vos questions.

Tes conseils ou tes tips pour continuer à développer son business actuellement?

Premièrement, je pense qu’il faut accepter que le business soit différent! Ce n’est facile pour personne, c’est certain.

Pour ma part, je le vis assez sereinement, notre année 2020 sera spéciale mais nous avons la chance d’être à notre huitième année et d’être épaulés par notre banque. Il faut continuer à faire presque comme d’habitude et à travailler sur des sujets de fond.

C’est aussi une « chance » dans nos vies à 100 à l’heure de pouvoir avoir cette pause « forcée ».

Cette semaine, j’ai fait un rendez-vous téléphonique pour parler du design du site et faciliter le parcours client. Je trouve que tout le monde est bienveillant et compréhensif, ça fait beaucoup de bien.

Quel est ton meilleur souvenir olfactif?

Je dirais le parfum de la garrigue, nous partions tous les ans avec mes parents et mes frères dans le midi. De vrais nordistes! C’était vraiment un festival olfactif, entre la lavande, les pins, le romarin…

Ton parfum favori et pourquoi?

C’est Mûre et Musc de l’Artisan parfumeur. J’y suis fidèle depuis des années!

Je trouve que c’est un intemporel, je ne m’en lasse pas. Je n’ai jamais eu un autre vrai parfum.

C’est un savant mélange de fruit mais en même temps, il ne fait pas trop girly. C’est d’autant plus compliqué pour moi car je suis allergique à la plupart des parfums…

En ce moment, Rémi porte Hwyl d’aesop, un parfum « compliqué » mais qui me plaît énormément. ça vaut le coup de le tester!

Retrouvez tous les produits de la marque ainsi que les masques barrières qu’ils créent spécialement en ce moment pour faire face à la pandémie de coronavirus sur leur site lecolonelmoutarde.com

le colonel lille
nach bijoux

Rencontre avec Nancy et Nadia, les créatrices de Nach Bijoux

nach bijoux

 

Rencontre avec le duo créatif de Nach Bijoux

Nadia et Nancy, deux soeurs originaires de Toulouse, ont fondé Nach en 2011. Elles imaginent des collections de bijoux en porcelaine colorée qui honorent la nature et ses animaux.

Quel a été votre parcours avant de lancer Nach?

Nancy, directrice artistique: J’ai fait une école d’art graphique. Le diplôme de concepteur designer graphique en poche, je me suis lancée à travailler en free-lance dans cette même branche durant 2 ans avant de  créer Nach.

Nadia, directrice générale: J’ai fait un master 2 en marketing et affaire international. À la sortie de l’école, j’ai travaillé en tant que responsable marketing et communication dans un laboratoire français à Bangkok pendant 3 ans. J’avais toujours en moi l’envie de créer quelque chose. Suite à cela, j’ai monté le projet Nach avec ma soeur.

Comment vous est venue cette idée?

Nach est le fruit d’une passion commune pour les bijoux et d’une tradition familiale, notre père étant le leader mondial de la miniature porcelaine. Nous baignons dans cet artisanat depuis notre enfance, travailler la porcelaine pour créer des bijoux était donc une évidence.

Une journée type chez Nach?

Une journée pleine de rebondissements et des idées qui fusent! Il n’y a pas vraiment de journée type mais ce qui est sûr, c’est qu’elle commence toujours pas un bon café ou thé partagé avec nos équipes. Et souvent, accompagnés de petites sucreries 🙂

Votre conseil pour les entrepreneurs en herbe?

La persévérance! Être confiant et être sûr d’avoir fait tout le nécessaire pour réussir!

Quel est votre meilleur souvenir olfactif?

Nadia: L’odeur du jasmin un soir humide chez nous en Thaïlande.

Nancy: L’odeur de la pluie qui tombe sur la terre chaude de l’été et qui nous fait voyager.

Votre parfum favori et pourquoi?

Nadia: Blanche de Byredo car ça sent le propre avec une touche fleurie.

Nancy: La fleur d’oranger pour son côté rafraîchissant.

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